Edito

A chaque fois c’est la même chose : on pense avoir tout dit dans nos pages sur le sujet John Bonham, et v’la qu’un événement bouillonnant nous contraint d’évoquer le dieu du heavy rock pour la énième fois. Le 26 novembre 2007, le groupe aux trois cent millions d’albums vendus, renaissait de ses cendres sur la scène de l’O2 Arena de Londres devant dix huit mille privilégiés (on se souvient de la loterie mondiale à laquelle vingt millions de personnes avaient participé pour tenter d’assister au concert). Le Zeppelin, réparé et regonflé d’hydrogène pur s’était pour l’occasion armé d’un nouveau moteur à énergie atomique : Jason Bonham, digne fils de son père, au talent immense. Aussi, en septembre, quand Led Zeppelin a annoncé lors d’une conférence de presse, la sortie en salles et en DVD/Blu-Ray du film de ce show historique, Celebration Day, nous n’avons pas résisté à la tentation de passer un coup de fil à Jason pour revenir avec lui sur cette soirée magique, et tenter de lui soutirer d’autres infos croustillantes sur la carrière du plus fascinant des batteurs rock que le monde ait connu : John Bonham. Promis, c’est la dernière fois… la Rédac'