Edito
Trente ans après avoir claqué la porte, Keith Moon reste une source d’inspiration inépuisable pour les batteurs de rock : Matt Helders des Arctic Monkeys, Nick Hodgson des Kaiser Chiefs, Paul Thomson de Franz Ferdinand… Tous lui vouent un véritable culte. Alors, pourquoi le mythe Moon a-t-il la vie aussi dure ? Parce qu’aussi bien dans son jeu que dans son mode de vie, le sauvage batteur des Who, véritable punk avant l’heure, véhiculait un formidable sentiment de liberté, l’idée d’une fête dyonisiaque interminable, d’une absence totale d’interdits et de limites. Batterie Magazine revient sur le groove, la vie et la folie de ce spécimen toujours non répertorié. En attendant la rentrée, passez de bonnes vacances bien rock’n’roll !
La rédaction
Numéro 48
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