Edito
Le retour de Batterie Magazine en kiosques et en digital, fin janvier, a été vécu comme un soulagement par notre équipe. Nous sommes sincèrement heureux d’avoir mis un terme à cette période de neuf mois sans parution... Et quel bonheur de recevoir tous vos messages à la découverte de notre nouvelle formule. Vos réactions et votre enthousiasme ont été bien au-delà de nos espérances. Merci ! Maintenant, c’est à nous de maintenir le cap en vous proposant des sujets capables de répondre à vos exigences. Comme tout le monde, nous avons dû adapter nos méthodes de travail au contexte actuel. Plus question de traîner dans les loges des salles de concert avec les artistes ou dans les showroom des marques de batterie. Les interviews par Zoom ou Skype sont devenues légion et même s’il faut reconnaitre que les rencontres « physiques » commencent sérieusement à nous manquer, les outils de communication nous permettent de dialoguer aisément avec nos interlocuteurs dans le monde entier. Une chose est sûre, ces conditions sanitaires ne nous empêchent pas de rester proches de nos batteurs favoris et d’échanger avec eux de manière constante. La « drum community », déjà particulièrement soudée en temps normal, se serre les coudes comme jamais et ça fait plaisir à voir. Mais comme vous tous, on donnerait cher pour ressentir à nouveau le frisson d’un bon coup de kick dans la façade d’une salle de concert...
Comme d’habitude, avec le sommaire de ce numéro 178, nous avons tenté de satisfaire toutes les âmes musicales : death metal, jazz, musique cubaine, indienne, variété, pop, rock musclé, hip-hop... Quasi toutes les facettes du groove y sont représentées, avec ce désir inépuisable de s’affranchir des frontières musicales. Nous vous souhaitons une bonne lecture et n’oubliez pas, si vous souhaitez soutenir Batterie Magazine, rien de plus simple : abonnez-vous ! (rendez-vous en page 36 ou sur batteriemagazine.com)
La Rédaction
Numéro 178
6,70€