Edito

Ça y est ! D’ici un mois, l’année 2014 ne sera plus qu’un souvenir, et nous amorcerons une nouvelle saison, pleine de surprises qui groovent et de rebondissements musicaux pétillants ! Mais un peu de patience, que diable ! Parce que même si les décorations « glitter » des rues et des vitrines des magasins nous ont d’ores et déjà plongé la tête dans l’ambiance de Noël, à l’heure où nous écrivons cet édito, nous sommes toujours dans les bureaux de Batterie Mag, en train de bosser avec les Fills Monkey. Pour ce numéro, le duo de choc a carrément pris le pouvoir. Non contents de s’être accaparé notre première de couv’, Yann Coste et Sébastien Rambaud ont pris les choses en main, et se sont installés sans vergogne derrière le bureau de notre rédacteur en chef. Plus sérieusement, ce Batterie Magazine n°118 est un peu à l’image des deux Fills, puisque nous l’avons façonné en leur compagnie, à grand renfort de vannes, d’éclats de rire et de délire total. Parce qu’il faut les tenir, ces deux lascars. Le méga succès bien mérité qu’ils rencontrent depuis quelques années ne les a pas calmés, bien au contraire. Ils sont encore plus tarés et rock’n’roll qu’avant. Mais attention : ne commettez pas l’erreur fatale de les cataloguer comme deux clowns qui tapotent sur leurs batteries. Parce que lors de leur récente résidence à La Cigale (Paris 18), ils nous ont fait rire aux larmes, certes, mais comme à chaque fois, nous avons reçu une sacrée leçon de batterie. Mieux encore, le show de ces marchands de bonheur, qui attire toutes les générations, fait incroyablement bien la promotion de notre instrument auprès des enfants, qui ressortent tous de la salle le sourire aux lèvres et une paire de baguettes à la main. Plus que des batteurs et des comédiens, les Fills Monkey sont de vrais magiciens, et croyez-nous, ils n’ont pas fini de vous faire halluciner ! Ils seront notamment de retour à la Cigale de Paris les 17 et 18 janvier et se produiront dans toute la France en 2015. Allez, nous vous souhaitons une
« incredible » lecture, et à vos sapins ! La Rédac’